Le Tribut de Zamora

Prélude
Chœur. Au vieux pays de Cantabrie
Aubade. Ô blanc bouquet de l’épousée (Manoël)
Scène. Qu’entends-je ?
Vision et Arioso. La torche du vainqueur brûlait la ville prise (Xaïma)
Scène. Le seigneur sarrasin parle à ma fiancée
Duo. Pourquoi ce langage odieux ? (Xaïma, Manoël)
Arioso. Ce Sarrasin disait que mon seigneur et maître (Xaïma)
Chœur. Entendez-vous la cloche ailée
Scène. Que la cloche se taise et qu’on ferme l’église
Arioso et Scène. Vous osez proférer des menaces (Ben-Saïd)
Finale. Voici le premier nom
Finale (Suite). Xaïma Ferreras !
Chœur. Fêtons, fêtons l’anniversaire
Kasidah. La flèche siffle
Scène. Assez ! je ne veux pas qu’on chante
Air. Que me dis-tu ? Qu’il faut encore te suivre ? (Hermosa)
Scène, Marche et Chœur. Ah ! voici le convoi d’Espagne
Scène. Je connais cet homme, il me semble
Récitatif. Notre très clément souverain (Le Cadi)
Marche des captives
Scène et Arioso. Seule en ce lieu (Xaïma, Hermosa)
Finale. Oh ! la pauvre femme
Morceau d’ensemble. L’ange qui chaque nuit
Finale (Suite). À cents dinars d’or
Scène. Écoutez ! écoutez les clairons d’or !
Introduction et Barcarolle. Ma belle, effleurons de nos rames (Une jeune esclave)
Danse grecque
Danse espagnole
Romance. Je m’efforce en vain de te plaire ! (Ben-Saïd)
Trio. Mon frère ! Il faut qu’Hadjar (Hadjar, Xaïma, Ben-Saïd)
Scène. Sa dernière heure décidera mon sort !
Morceau d’ensemble. Un pardon de ta bouche altière !
Scène. À la pitié pour moi, qui souffre tant
Duo. De sa mort qui donc parle ici ? (Hermosa, Xaïma)
Duo (Suite). Que s’est-il donc passé ? (Hermosa, Xaïma)
Introduction et Cavatine. J’ai pu, la nuit venue (Manoël)
Scène et Duo. Manoël ! Sans moi tu veux mourir ? (Xaïma, Manoël)
Scène, Romance et Trio. Malheureux ! (Hermosa, Xaïma, Manoël)
Trio (Suite). Mais sans mourir (Hermosa, Xaïma, Manoël)
Scène et Cavatine. Lui ! Manoël ! Encore ! (Ben-Saïd, Xaïma)
Duo. Tu mens, traître ! (Ben-Saïd, Xaïma)
Scène. Tu ne passeras pas !
Cantabile et Scène. Te la rendre !
Scène finale. Non ! N’appelle personne